Dans son sens strict, l' humour est une nuance du album le plus beau qui vise « à enjôler l’attention, avec détachement, sur les aspects plaisants ou étrange de la réalité »3,4. toutefois, dans le lexique courant, le sens du mesure s'est élargi pour nommer le comique, c'est-à-dire l'ensemble des moyens visant à susciter le rire ou le sourire.
L'humour est indivisible du comique, c'est-à-dire de « ce qui est propre à faire rire » ; le comique est, entre les tonalités littéraires, ce qui permet l'humour ; on en remarque principalement les expressions (situation, mots, gestes, caractère, mœurs, répétition). En sorte, l'humour tire parti par nécessité d'une forme de comique, mais toute manifestation comique n'est pas forcément drôle.
Auparavant, on parlait dans le clos travaillé de trait d'esprit. Le trait d'esprit se décider plus comme une air d'ironie acide et pince-sans-rire, que l'on constate chez des instaurateur de l'époque des Lumières comme voltaire, diderot ou crébillon fils. Sigmund Freud a étudié le trait d'esprit (witz) dans Le Trait d'esprit et son organisation dans l'inconscient (1905). L'humour tel qu'il est pratiqué par les Anglo-saxons est cependant plus proche d'une locution détacher sur les événements, sans infailliblement conduire à la malveillance vers laquelle tendait souvent l'esprit d'humour français.
On a établi dans la dérision noir une forme d' humour qui s'appuie sur des éléments tristes ou désagréables et les tourne en dérision , ce que l'on nomme « rire jaune » un rire en quelque sorte amer. De fait, l'humour n'est pas absolument lié à la joie.
Pour Paul reboux, l'humour être tout tout bonnement à « « traiter à la légère les choses graves, et gravement les choses légères »
Ainsi, l'humour est un élément flou, à mélanger à d’autres pensée qui lui sont analogues tels que le comique, le trait d'esprit, l’ironie ou le burlesque.
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